Quatrième manche du Championnat de France
Touring 1/10ème électrique
Montbrison 25-26/06/2005

Edité le 30/06/2005.
Réactualisé le 05/07/2005.
Textes et photos: Georges.

L'Auto Modèle Club Montbrisonnais (Ligue 08), club très impliqué dans les disciplines électriques piste (présidé par le responsable FVRC de la discipline 1/10 piste électrique, Michel Vialla) a organisé la quatrième manche du championnat de France 2005. On comptait 54 inscrits en SuperSport/Open et 20 en Sport/Promotion. Si ces chiffres sont convenables pour la première catégorie citée, la catégorie Sport/Promotion voit ses effectifs fondrent comme la neige au soleil...

Conditions de course

La séance d'essai du vendredi après-midi était placée sous le signe des averses orageuses. La piste était trempée par des trombes d'eau, voir de la grêle. Cependant, la piste séchant assez vite pendant les trop rares éclaircies, quelques pilotes ont pu faire un pack ou deux.

Le ciel du samedi matin épargna relativement les essais libres, et seul une partie de la première manche de qualification se déroula sur une piste mouillée, et l'ensemble de la dernière manche du samedi fut décalé pour permettre à la piste de sécher.

Le dimanche laissa place à un soleil radieux et à une chaleur écrasante, pour les pilotes comme pour les mécaniques. Les ordinateurs du comptage souffriront aussi de la température, ce qui occasionnera des problèmes informatiques qui causeront des réamménagement du timing.
(Nota: les trois photos ci-contre sont de Bif & PMD).

La piste

La piste de Montbrison, située dans un complexe sportif à côté d'un skate-parc et réservée exclusivement aux voitures électriques, se veut très technique et est particulièrement intéressante. De dimensions compactes (220m de développé), elle offre deux courtes lignes droites et l'ensemble du tracé est très exigeant en matière de pilotage et de réglages châssis. Depuis cette année, le club dispose de spacieux stands couverts qui abritent maintenant du soleil et de la pluie les tables en béton. Pour ce championnat de France, le club disposait également d'une grande tente en supplément pour accueillir le reste des pilotes et abriter la maintenant traditionnelle sangria-paëlla du samedi soir.

Suite aux violents orages du vendredi, la piste était nettoyée et balayée et présentait une bonne accroche. Les pneus ont cependant soufferts ce week-end, et il fallait organiser sa stratégie pour gérer au mieux ses deux trains marqués (en catégorie SuperSport).

Dans les deux catégories, les réglages furent déterminants. En effet, ils s'avérèrent ardus sur cette piste réputée exigeante. Il fallait conjuguer une bonne accroche, la précision, la motricité et la vivacité.

Commission Technique

Avant le traditionnel repas du samedi soir, une courte commission technique a été organisée. Le but n'étant pas tant de débattre, mais d'énumérer un certain nombre de propositions qui seront soumises à vote plus tard. Pour plus d'informations, se reporter au site officiel de la FVRC.

Technique châssis

X-Ray

Entre les T1 Raycer, les FK04 et les FK05, X-Ray devait être la marque la plus représentée dans les stands.

Côté nouveautés pour la FK05, outre la platine supérieure large à quatre oreilles et le châssis de 3mm d'épaisseur, un nouveau châssis 2mm "low grip" est disponible depuis peu. Ce dernier offre plus de flex (et pour une même garde au sol, change la position du centre de roulis) que le 2.5mm d'origine et surtout que le 3mm, avec les avantages et les inconvénients que l'on connaît.

Mathias Rascol utilisait ici ce châssis avec succès, signant par exemple le meilleur temps de la quatrième séance de qualification.

Les autres options telles que les supports de triangles intermédiaires de 0.75 et les porte-fusées arrières avec pincement in-board, très attendus par les adeptes des châssis tchèques, ne sont pas encore disponibles commercialement.

La X-Ray T1 FK05 de Mathias Rascol.

Ci-contre la FK05 de Joan Urbain, quasiment complètement d'origine (mis à par l'utilisation de ressorts avants différents et d'une barre anti-roulis). Ce pilote a retaillé le pare-choc en mousse et sa platine pour accueuillir la puce de comptage. Un petit ventilateur a été monté devant la tête du moteur avec de petites pattes en aluminium montées sur les trous déjà présents sur le châssis.

La X-Ray T1 FK05 de Joan Urbain.

L'auto de Lucas Urbain n'est en fait pas une FK04, mais une version de base T1 Raycer (reconnaissable à ses cellules) avec le châssis et la platine XRC.

La X-Ray T1 Raycer de Lucas Urbain.

Corally

Outre les pilotes officiels, de plus en plus de privés se laissent séduire par la belle hollandaise.

Depuis peu, Corally commercialise des cardans en acier en option pour remplacer ceux d'origine en aluminium, dans le cas par exemple de l'utilisation du spool, qui sollicite énormément la transmission.

En photo ci-contre, la Corally RDX de Pierre-François Brunnet.

La Corally RDX de Pierre-François Brunnet.

Sur la RDX de Walter Pollet-Villard, on pouvait observer diverses astuces de préparation.
Tout d'abord l'implantation radio, dont les deux mots d'ordre sont, premièrement, diminuer au maximum les risques de perturbations radio, et deuxièmement, abaisser les masses au maximum. Ainsi, le récepteur se retrouve derrière le pack de propulsion. Tout comme l'antenne. Le système de direction a été modifié. Le pack n'est plus fixé par la barre en carbone, mais par du scotch renforcé. A remarquer l'utilisation de ressorts d'origine X-Ray, dont le feeling au toucher à raideur égale est différent de ceux de Team Associated généralement employés par les pilotes de la marque batave.

La Corally RDX de Walter Pollet-Villard.

A noter également l'adoption par plusieurs pilotes Corally d'une mini-platine arrière en fibre de carbone redessinée afin de pouvoir avancer les plots de carrosserie et ainsi monter sans problème les carrosseries en vogue (comme les Prototoform Mazda 6 et Stratus 3 All Purpose).

La Corally RDX de Walter Pollet-Villard.

Tamiya

Si les TRF415 sont toujours présents en grand nombre, certains de ses adeptes l'ont récemment délaissé aux profits d'autres châssis (la plupart du temps pour la FK05 ou la RDX). Si les performances et l'esthétisme du châssis de la marque aux deux étoiles ne souffrent d'aucune critique, son taux d'usure assez rapide implique un budget d'entretien assez conséquent. Le prix de la performance!
Une version MSX, aperçue à la dernière Reedy Race, devrait apparaître sous peu. Les améliorations ont portées essentiellement sur l'accessibilité, avec des cellules revues à la mode TB Evo4 MS, et un rabaissement du centre de gravité. Les trains roulants ne semblent pas avoir évoluées de façon sensibles.

Le Tamiya TB Evo4 MS de Bellity Stefan.

Ici, personne ne semble avoir utilisé le kit de suspension arrière "David Jun Pro Module Suspension kit", qui a la particularité de faire ancrer les amortisseurs directement sur le porte-fusée arrière pour obtenir une cinématique de suspension assez différente de celle d'origine. Ce kit comprend des triangles spécifiques en aluminium anodisé noir, des porte-fusées en aluminium anodisé bleu, des ressorts d'amortisseur rouge ainsi que divers accessoires, notamment pour modifier le montage du support d'amortisseurs arrière.
La distribution de ce produit semble pour le moment assez confidentiel.

Deux (ou plus ?) TB Evo4 étaient présent dans les stands. La superbe version MS de Bellity Stefan était équipée de quelques options, comme par exemple un axe central en carbone d'origine Team Bomber et de capots de transmission translucide de couleur bleu d'origine Tamiya (pièces en série limitée).

Le Tamiya TB Evo4 MS de Bellity Stefan.

Team Associated

Peu de news à signaler sur la TC4. Une version Factory Team devrait prochainement voir le jour. Au programme, un ensemble châssis-platine en fibre de carbone, des supports d'amortisseurs dans la même matière, et peut-être également une matière plus rigide pour les éléments de triangulation. La conception semble avoir été plus sérieusement menée que sur la version de base, qui souffre de quelques hérésies à ce niveau, en témoigne par exemple certains détails, comme par exemple l'emploi d'épaisseurs de carbone différentes entre le support d'amortisseurs avant et celui de l'arrière.

La TC4 de Michel Berty, en photo ci-contre, est très proche de la version du kit.

La Team Associated TC4 de Michel Berty.

Team Losi

Seulement trois JRX-S vues dans les stands, celles des frères Urbès et celle de Philippe Goettelmann.

Cette auto particulière, qui souffre encore de trop nombreux défauts de jeunesse, a beaucoup de mal à convaincre les acheteurs potentiels.

Pour information, le Team GM Allemagne (GM important Team Losi en Allemagne) a renoncé à piloter avec cette auto, et, après un bref passage sur Corally, roule maintenant sur Yokomo.

La Team Losi JRX-S de Philippe Goettelmann.

Sur l'auto de ce Philippe Goettelmann, on pouvait noter une implantation radio très soignée, et la présence de pièces prototypes non encore disponibles commercialement, comme la roue-libre avant ou la plaque d'accu spéciale GP3700. Sur la photo ci-contre, la plaque de droite est la version prototype et celle de gauche préfigure la version commerciale.

La Team Losi JRX-S de Philippe Goettelmann.

Yokomo

Plusieurs Yokomo MR4-TC BD étaient présentes, dont celle de Yohann Bukowski.

La Yokomo MR4-TC BD de Yoann Bukowski.

Schumacher

Sur l'auto de Christophe Tardy, on pouvait voir l'installation d'amortisseurs fluorine d'origine Tamiya (les ressorts de suspension sont cependant toujours d'origine Schumacher) et la suppression de la barre d'accu, l'accu étant maintenant fixé au scotch renforcé.

La Schumacher Mission 2 de Christophe Tardy.

La Schumacher Mission 2 de Laurent Alexandre présentait le même type de préparation.

La Schumacher Mission 2 de Laurent Alexandre.

HPI

Fait assez rare en championnat de France, plusieurs pilotes (la majorité venant de la ligue 10) roulaient avec la HPI RS4 Pro4. Celle en photo ci-contre est celle de Jonathan Claux. Le châssis americano-nippon ne semblait pas très à l'aise sur les terres montbrisonnaises.

La HPI RS4 Pro4 de Jonathan Claux.

Autres

Pendant la pause de midi du samedi, les pilotes ont eu droit à une démonstration d'une moto R/C. Basé sur un kit Thunder Tiger, elle était motorisée par un brushless de 700W alimenté par 8 éléments GP3300.

Pendant la pause de midi du samedi, les pilotes ont eu droit à une démonstration d'une moto R/C.

Souvenir, souvenir... Un pilote participant à cette course avait amené un Tamiya Avante, un ancien tout-terrain 1/10° électrique mythique de la marque aux deux étoiles.

Vintage: un Tamiya Avante.

Technique carrosseries

Cette quatrième manche de championnat de France fut l'occasion pour l'application de la nouvelle liste EFRA concernant les carrosseries. Ont donc été homologuées un certain nombre de nouvelles carrosseries, dont certaines très attendues par les pilotes et d'autres plus ou moins exotiques, voir carrément inconnues.

Parmi les nouvelles carrosseries homologuées, trois ont particulièrement retenu l'attention des pilotes:

  • La Protoform Stratus 3 "All Purpose" (à ne pas confondre avec la version "Carpet", qui n'est pas homologuée, et qui est reconnaissable à ses deux bosses sur le capot avant au niveau du support d'amortisseurs et à ses passages de roue de faible diamètre, car normalement destinée aux courses avec pneus en mousse), qui se veut précise avec beaucoup d'appui. Si l'on souhaite adopter un aileron moulé, il semble préférable d'en prendre un de 190mm de large, car avec le 200mm, l'auto se met à sous-virer. Nota: normalement, la version "AP" possède l'inscription "All Purpose" inscrite dans le bandeau du pare-prise. Cependant, les premières séries de "AP" n'avaient pas cette inscription, mais elles ont été tout de même acceptées au contrôle technique.
  • La Protoform Mazda 6, au comportement que beaucoup de pilotes qualifient de viril. Très directive, précise, avec beaucoup d'appui sur l'avant. Pour calmer un train arrière un peu baladeur, certains pilotes avaient monté un aileron Protoform moulé de 200mm de large ou recule sensiblement celui d'origine pour fleurter avec les limites imposées par le règlement.
  • La Rayspeed Honda Accord, qui semble être bien adaptée au tracé technique. Elle semble également fort légère par rapport à ses concurrentes (information à valider sur une balance) et a retenu la faveur d'un certain nombre de pilotes.

La Protoform Stratus 1 a encore conservé de nombreux adeptes, même parmi les pilotes très rapides, pour son caractère sain et homogène. En effet, ces nouvelles carrosseries réclament parfois des réglages et un pilotage différent pour en tirer le meilleur parti.

Technique moteurs

En catégorie Sport/Promotion, quasiment la totalité du plateau roule avec le Black Corally, les moteurs au format SV2 ne rencontrant pas trop le succès. Beaucoup de pilotes les associent aux charbons long-life, majoritairement aux CS T605.

En catégorie Supersport/Open, rien de particulier à signaler, si ce n'est également l'adoption de charbons long-life (CS, LRPou Trinity XXX par exemple) pour une bonne partie du plateau.

Technique variateurs

La chaleur harrassante du week-end posera des problèmes aux variateurs. Les plus répendus sur le plateau, id est ceux basés sur le VFS-1 de Ko Propo (Atsuchi Hara Twister 2 et 2.1, Tamiya Volac, Corally MMS-3, Yokomo, Rayspeed, etc...), qui font pourtant partis des meilleurs produits disponibles sur le marché, illustraient parfaitement les problèmes qui pouvaient survenir. Les versions avec protection thermique (basé sur le VFS-1 "normal") saturaient à 4-4.5 minutes et les dernières versions sans protection thermique (basé sur le VFS-1 Competition - avec boîtier style carbone) ne saturaient plus, mais risquaient de surchauffer et d'être détruits.

Dans les deux cas, il fallait prendre des précautions, comme par exemple, bien dégager le variateur pour qu'il soit correctement ventilé naturellement, monter un radiateur avec du ruban adhésif double-face conducteur thermique pour augmenter la surface de dissipation, mettre un ventilateur au-dessus, ou encore monter sur les fils du moteur des éponges que l'on mouille pour éviter que la chaleur du moteur ne remonte dans le variateur.
A ce propos, la protection thermique des variateurs de type VFS-1 peut être désactivée en enlevant un petit composant du variateur, aux risques et périls de l'opérateur.

Technique radiocommande

La nouveauté de cette année qui a fait couler beaucoup d'encre est les radiocommandes équipées de module d'émission DSM (Digital Spectrum Modulation), et plus particulièrement les modules de la marque Spektrum qui fonctionnent sur la bande des 2.4Ghz. Il existe d'autres marques exploitant ce système, comme Dart, Nomadio et les grands constructeurs s'y intéressent (Hitec et JR/Graupner notamment).
Si ce système résout les problèmes de disponibilité de fréquence, contrairement à ce que certains s'imaginent, il ne signifie en aucun cas la disparition des risques de top radio. Mais ils se manifesteront différemment, et les installations radios devront donc toujours être soignées au montage.

Cependant, pour le moment, la FVRC (et également l'EFRA) a décidé de l'interdire en compétition (mais le système est toléré en essais libres) pour plusieurs raisons:

  • Le manque d'information sur ce système d'émission de la part des fabricants et des importateurs sur les risques d'interférence avec les systèmes classiques de radiocommande et avec les autres appareils fonctionnant sur cette fréquence.
  • L'absence pour le moment de l'aval de l'ART, l'Agence de Régulation des Télécoms.

Ce qui ne signifie pas que ces systèmes soient bannis définitivement. De toute manière, les pilotes possédant ce système ne sont pas pénalisés, car les systèmes qui sont pour le moment commercialisés sont des systèmes de conversion pour les radiocommandes classiques. Il leur suffit donc de remettre en place leur module d'émission et leur récepteur classiques.

Technique accus

En catégorie Sport/Promotion, le GP3300 est roi. On peut cependant voir quelques rares GP3000 (appréciés par certains pilotes pour leur pêche), et quelques autres types de packs, souvent plus chers et moins bien.

En catégorie Supersport/Open, le GP3700 commence à s'imposer dans les stands, même si le GP3300 fait de la résistance, car possédant en général une résistance interne plus faible et un meilleur voltage moyen. Le GP3700 semble également légèrement plus fragile et plus capricieux que le GP3300. Peu d'Intellect 3600 ou de V-Tec 3700 dans les stands, la majorité des pilotes préférant faire confiance aux valeurs sûres. Quelques rares Sanyo 3300 ou 3600 aux mains de pilotes mal informés sans doute.

Concernant la charge des GP3700, les pilotes appliquent la même méthode qu'avec les GP3300, avec cependant un delta-peak plus faible.

Technique pneus

Rien de particulier à ce niveau, si ce n'est qu'ils ont été mis à rude épreuve sur le bitume brûlant de Montbrison. Dans les deux catégories, certains pilotes traitaient (principalement au Tire-Tweak), d'autres non, certains chauffaient, d'autres non.

News

Peu de news à se mettre sous la dents ce week-end, les fabricants se réservant certainement pour les grands rendez-vous internationaux de cet été. SMS présentait cependant quelques nouveaux articles, comme des cardans en aciers pour la Corally RDX, des condensateurs grosse capacité pour le récepteur, un radiateur en cuivre pour les variateurs de la famille Ko VFS-1, une puce personnelle et des LED de remplacement d'origine DC Systems compatibles avec le Team Orion Pro-Lap, une équerre de carrossage et une cale de mesure de la garde au sol en aluminium anodisé purple chez Schumacher, des pneus montés-collés Schumacher basés sur les Sorex 36, un condensateur pour variateur plus gros que l'habituel, un ventilateur 25*25*10mm 5V, une nouvelle plaque simple de décharge FlatLine chez Novak.

Quelques photos:

Catégorie Sport/Promotion

En catégorie Sport/Promotion, la pôle se discutera entre quatre pilotes, qui se retrouveront dans un mouchoir de poche au niveau points. Au final, Lucas Urbain, vainqueur de la précédente manche à Antibes, se place en premier sur la grille de départ des finales avec 73 points, suivi de son frère Joan Urbain, de Mathieu Massonneau et de Michel Berty, tous les trois avec 71 points.

En finale, Michel Berty remporte la première manche, suivi dAlexandre Deshayes et de Mathieu Massonneau. La seconde est remportée par le poleman Lucas Urbain suivi de Joan Urbain et Michel Berty. La troisième le sera par Joan Urbain, suivi de Lucas en seconde position et de Mathieu Massonneau en troisième position. Au total, c'est donc Joan Urbain qui monte sur la première marche du podium devant son frère Lucas et Michel Berty.

Finale

Classement
final

Pilote

Place
en
qualification

Châssis

A

1

Urbain Joan

2

X-Ray T1 FK05

A

2

Urbain Lucas

1

X-Ray T1 Raycer XRC

A

3

Berty Michel

4

Team Associated TC4 Team

A

4

Massonneau Mathieu

3

Tamiya TRF415 MS

A

5

Valantin Fabien

10

X-Ray T1 FK04 XRC

A

6

Deshayes Alexandre

8

Schumacher Mission 2

A

7

Cachafeiro Juan

9

Tamiya TRF415 MS

A

8

Beining Olivier

5

Corally RDX

A

9

Aubert Nicolas

6

Corally RDX

A

10

Clarin Cédric

7

Corally RDX

B

11

Jadot Florent

12

Corally RDX

B

12

Porati Sébastien

13

X-Ray T1 FK05

B

13

Deshayes Pierre-Mary

11

X-Ray T1 Raycer

B

14

Grossoeuvre Julien

16

/

B

15

Chambion Benoît

14

HPI RS4 Pro4

B

16

Avaro Cédric

17

/

B

17

Meulet Aurélien

19

/

B

18

Dumoulin Maxime

15

/

B

19

Briseul Charles

18

X-Ray T1 Raycer

B

20

Deschamps Eric

20

Tamiya TRF415 MS

Catégorie Superport/Open

En catégorie Supersport/Open, Christophe Tardy, qui avait remporté la course régionale qui avait eu lieu quinze jours auparavant sur cette même piste, s'avère de suite le meilleur candidat pour la pôle-position et la remporte avec 177 points. Suit le toujours rapide Alexandre Laurent avec 173 point, puis Mathias Rascol (qui signera une quatrième manche d'anthologie) et Walter Pollet-Villard, tout deux avec 170 points.

Christophe Tardy gagne la première finale, suivi d'Alexandre Laurent et de Walter Pollet-Villard. Le scénario se répète pour les deux pilotes antibois, mais c'est Jérémy Delalondre qui prend la troisième place dans cette seconde finale. Suite à un incident, la troisième finale ne sera pas validée et sera recourue. Mais Christophe Tardy ne fait que confirmer sa bonne forme du week-end et montera sur la première marche du podium, suivi d'Alexandre Laurent et de Walter Pollet-Villard.

Finale

Classement
final

Pilote

Place
en
qualification

Châssis

A

1

Tardy Christophe

1

Schumacher Mission 2

A

2

Laurent Alexandre

2

Schumacher Mission 2

A

3

Pollet-Villard Walter

4

Corally RDX

A

4

Delalondre Jérémy

5

Corally RDX

A

5

Carpentier Jérôme

9

Corally RDX

A

6

N'Daye Cyril

6

Tamiya TRF415 MS

A

7

Labbez Benoît

10

Tamiya TRF415 MS

A

8

Brunnet Pierre-François

7

Corally RDX

A

9

Jasmin Loïc

8

Tamiya TRF415 MS

A

10

Rascol Mathias

3

X-Ray T1 FK05

B

11

Couvreur Rémi

12

Team Associated TC4 Team

B

12

Ragaut Hugo

13

Tamiya TRF415 MS

B

13

Dusart Alexandre

15

Tamiya TRF415 MS

B

14

Vialla Philippe

11

Team Associated TC4 Team

B

15

Bukowski Yoann

16

Yokomo MR4 TC BD

B

16

Notturno Patrick

17

Team Associated TC4 Team

B

17

Limoges Jérémy

18

Team Associated TC4 Team

B

18

Monchy Grégory

20

Team Associated TC4 Team

B

19

Claux Jonathan

19

HPI RS4 Pro4

B

20

Tréhout Aurélien

14

Corally RDX

C

21

Beauquier Alexandre

22

Corally RDX

C

22

Jadot Christophe

25

X-Ray T1 FK05

C

23

Jost Julien

23

Corally RDX

C

24

Felix Sébastien

30

X-Ray T1 FK05

C

25

Urbès Laurent

29

Team Losi JRX-S

C

26

Bouillard Martial

24

Team Associated TC4 Team

C

27

Ansellem Xavier

27

X-Ray T1 FK04 XRC

C

28

Urbès Fabien

26

Team Losi JRX-S

C

29

Varinard Jean-Michel

28

Team Associated TC3 FT

C

30

Belity Stefan

21

Tamiya TB Evo4 MS

D

31

Reiners Benoît

35

Corally RDX

D

32

Fender Sébastien

34

Team Associated TC4 Team

D

33

Caramelle Sébastien

33

Schumacher Mission 2

D

34

Capon Simon

40

Corally RDX

D

35

Goettelmann Olivier

32

Corally RDX

D

36

Masson Sébastien

36

X-Ray T1 FK05

D

37

Cavard Vincent

31

X-Ray T1 FK05

D

38

Magnier Stéphane

38

X-Ray T1 FK05

D

39

Monot Yann

37

Tamiya TRF415 MS

D

40

Moysan David

39

X-Ray T1 FK05

E

41

Goettelmann Philippe

42

Team Losi JRX-S

E

42

Leclerc Sébastien

48

/

E

43

Camicas-Aycardi Georges

43

X-Ray T1 FK05

E

44

Lee Raphaël

44

X-Ray T1 FK05

E

45

Holdam Alex

46

X-Ray T1 FK04 XRC

E

46

Varin Samuel

45

/

E

47

Deltreuil Vincent

50

/

E

48

Day Alan

47

Schumacher Mission 2

E

49

Raynal Philippe

49

Prototype

E

50

Leonhart Pierre

41

Tamiya TRF415 MS

Autres sites ayant fait ou susceptibles de faire un reportage sur cette course:

Merci aux organisateurs pour leur accueil symphatique et pour les résultats.
Les résultats fournis par ce site n'ont pas de valeur officielle.
Textes et photos de Georges.
Photos sous la pluie de Bif & PMD.